PRESSBOOK MCB TC 2023

TOURNOI

TOURNOI

15cm du trou, sur le mythique 17 qui lui a coûté la 2 e place… mais c’est quand même sa meilleure perfor mance de la saison. Cela amènera peut-être « Je » (comme l’appellent ses amis) à revenir sur l’intention qu’on lui prête d’aban donner dé nitivement les fairways pour se consacrer à ses a aires… Trois autres Français étaient de la partie. Si Marc Farry (+12) et Lionel Alexandre (+13) n’ont guère fait d’étin celles, Christian Cevaër a su, pendant les deux premiers tours, tirer son épingle du jeu à -6. Mais la troisième journée, moins brillante, où il joué +1, l’a ramené à -5…

ÉCHOS DU MCB TOUR CHAMPIONSHIP...

DU GREEN AU LEADERBOARD Grâce à l’installation d’un leaderboard électronique, il en est ni des acrobaties de ceux qui devaient grimper sur une échelle pour placer des carrés de plastique avec les scores de chaque joueur sur chaque trou. Désormais, à chaque sortie de green, une « sentinelle » recueille le résultat de chaque joueur et le transmet immédiatement en

Jean-François Remésya fair un 3 e tour de feu !

Michael Jonzon, leader au 1er tour, n’a pas su tenir le rythme (ici avec son épouse qui le caddeyait).

Un autre joueur aurait pu prétendre à la victoire : Adilson da Silva, lui aussi bien classé au départ et surtout tenant du John Jacobs Trophy jusqu’au trou 13 du Legends où il signait son dernier birdie avant de n’aligner que des par… le privant de son trophée. Peter Fowler, pour sa part, a signé un véritable exploit. L’Australien, deuxième plus vieux du parcours avec ses 64 ans, s’est hissé jusqu’à la deuxième place (ex-aequo avec le Suédois Patrick Sjöland) grâce à une série impressionnante de birdies, dont deux consécutifs sur le 17 et le 18. Mais la plus belle remontada revient à Jean-François Remésy. Chaud comme la braise, il a aligné un eagle, six bir dies pour un seul bogey. C’est sans doute le birdie raté à

en pulvérisant au passage le record du parcours. Là, il nit dans les tréfonds du classement (38 e , dans le par)… sans doute, prétendent certaines mauvaises langues, parce qu’il se réservait pour le week-end suivant où il devait participer à l’AfrAsia.

Quant au trois leaders au départ, ils ont alterné le bon et le mauvais : double bogey sur le 2 pour Jonzon, double bogey sur le 5 pour Long, deux bogeys pour 3 birdies pour Coles. Mais la grande déception aura été la contre-performance du vainqueur de l’an dernier, le Suédois Thomas Bjorn qui, en 2022, avait dominé la compétition de la tête et des épaules,

Collecte du résultat…

ÉCHOS DU MCB TOUR CHAMPIONSHIP...

UN ÉVENEMENT BIEN COUVERT ! Le MCB Tour Championship béné cie d’une couverture médiatique exceptionnelle, si l’on en juge par la liste des organes de presse qui ont fait le déplacement : - Le Journal du Golf - France - L’Équipe - France - Canal+ (pour Golf+) - France - FFGolf - France - Golf Monthly - Grande-Bretagne - In uencer Ecosse – Grande-Bretagne - Today’s Golfer - Grande-Bretagne - Worldwide Golf - Emirats Arabes Unis - Golf &Turismo - Italie - Tuttosport - Italie - Sky Sport - Allemagne - Plaisirs, gastronomie, voyages - Suisse - The Golf Mag - Afrique du Sud - Dansk Golf - Danemark - Sinagold - Chine - 1 in uencer - Chine … sans oublier Gol k News - La Réunion !

OÙ SONT LES CERFS ? On les croisait en hardes sur les fairways et le soir ont les admirait depuis la terrasse du Deer Hunter (qui portait donc bien son nom), quand ils venaient prendre le frais près de l’eau qui borde le fairway du 18… Les cerfs du Legends contribuaient pleinement à la…légende du parcours. Hélas, depuis la crise du Covid, ils ont disparu… et ne sont pas encore revenus. Peut-être les reverrons-nous dans un avenir proche ? En attendant leur hypothétique retour, le Legends reste un très beau refuge pour une faune aviaire très variée, entre poules d’eau, canards, échassiers et palmipèdes divers…

Transmission…

… et affichage ! Le tout en un clin d’œil !

numérique au PC pour un a chage immédiat. Une innovation très appréciée de ceux qui, sans aller sur le parcours, aiment suivre de minute en minute les performances et contre-performances des uns et des autres.

Christian Cevaër n’a pas démérité.

19

18